La fabuleuse histoire du Docteur Bach

Docteur Edward Bach

Le docteur Bach est né en 1886 en Angleterre, dans une famille de fondeurs. D’une nature très fragile dès sa naissance, il réalise très rapidement que son état de santé est une source de souci pour ses proches. Bien que son destin le prédestine à suivre la voie familiale, il décide très rapidement de devenir médecin.

A 16 ans il quitte l’école et travaille à la fonderie de laiton de son père pour financer ses études. Durant ces quelques années passées au milieu des ouvriers, il observe les hommes. Il remarque que la peur de la maladie, qui signifiait à l’époque la perte d’emploi et des soins assez couteux, n’étaient pas écoutés par les médecins qui s’obstinaient à ne soigner que les symptômes et non l’état psychologique du patient.

Le jeune Edward Bach est alors convaincu qu’il y a plus important que le soulagement de la maladie : le soulagement de l’état psychologique du patient.

Fort de cette idée, il est plus volontaire que jamais et, obtenant une bourse d’étude, il quitte sa famille pour entrer à l’Université de Birmingham puis celle de Londres. Il devient, entre 1912 et 1914, Docteur en médecine, Docteur en chirurgie, Docteur en santé publique et Docteur attaché au Collège Royal de Médecine, tout en étant à tête du service des urgences au CHU de Londres.

Pour la petite anecdote, il dira lors de la remise des diplômes : « Il va me falloir 5 ans pour oublier ce que l’on m’a enseigné ! »

En effet, pour le Dr Bach, l’intérêt de la médecine réside en l’étude de la psychologie de ses patients, et non en leur maladie.  Il est certain qu’en ne soignant que les symptômes la maladie réapparaitra, sous une forme ou une autre. De plus, il ne conçoit pas qu’un seul et même traitement pour une même maladie réussira à tous ses patients, au contraire, à chaque malade, donc à chaque personnalité, correspond un traitement.

Il développe son leitmotiv : 

« soigner le malade et non la maladie »

Edward Bach installe son cabinet dans « Harley Street », et devient en parallèle, il devient Pathologiste et Bactériologiste. A l’hôpital il fait de nombreuses analyses de sang, d’urines et de selles et retrouve le même type de bactérie chez le même type de personne.

Fort de sa conviction que dans la maladie c’est la personnalité qui joue le rôle le plus important, et non les symptômes. Il continue d’exercer dans son cabinet médical d’Harley Street et, pendant ses rares moments de liberté, il continue sa recherche sur une méthode thérapeutique plus simple, plus pure et toujours plus naturelle, une thérapie du « bien par le bien ».

En 1928, lors d’un dîner, il se rend compte, en observant les autres convives, qu’ils correspondent tous à plusieurs types différents.  Cette inspiration l’amène à conclure que chaque type de personne réagit à la maladie d’une manière particulière.

A l’automne de cette même année, il séjourne au Pays de Galles d’où il rapporte deux plantes, la Mimule (Mimulus) et l’Impatience (Impatiens). Il les prépare homéopathiquement et les prescrit en fonction de la personnalité de ses malades. Il obtient des résultats très encourageant. Plus tard il découvre la Clématite (Clematis). 

Dès lors, et avec ces trois fleurs, il commence à développer une méthode thérapeutique totalement nouvelle et révolutionnaire.

Nora Weeks

En 1930 il abandonne son cabinet et sa notoriété pour partir au Pays de Galles en quête d’autres plantes et « d’un autre système de santé » axé principalement sur le malade et non la maladie, qui traite la cause et non pas les effets. Lors de ce voyage, il était accompagné de Nora Weeks, une radiologue de l’hôpital, qui restera à ses côtés jusqu’à la fin de sa vie.

La même année, il découvre la Méthode de « Solarisation » et écrit le livre « Guéris-toi toi-même », qui explique comment les maladies surviennent, comment les vaincre et les principes de son système de guérison.

Nora Weeks

Victor Büllen

Bullen Victor

Entre 1930 et 1934, Edward Bach vit à Cromer, une ville côtière d’Angleterre, où il rencontre Victor Büllen, un constructeur naval, qui devient un véritable ami, avec qui il a vécu jusqu’à la fin de sa vie. Pendant cette période, il a ajouté quinze fleurs supplémentaires à sa méthode de guérison.

En 1934, Nora trouve une petite maison appelée Mount Vernon, à Sotwell, un village de l’Oxfordshire, en Angleterre, qui a dans ses jardins et ses environs la plupart des fleurs jamais découvertes.

A cette époque Edward Bach sent que son travail n’est pas encore achevé, et en 1935 il trouve Cherry Plum, la vingtième fleur, qui ouvre la deuxième série d’élixirs floraux. C’est la première fleur à être préparée par la méthode d’« ébullition ».

Au cours des 6 mois suivants, il découvre dix-huit autres fleurs, arrêtant ainsi son système de guérison avec la certitude qu’il était complet.

Au petit matin du 27 novembre 1936, le Dr Bach mourut endormi, sa mission accomplie.

Nora Weeks et Victor Büllen restent à Mount Vernon, et continuent son travail comme il leur avait enseigné. 

Nora est infatigable dans sa lutte et, grâce à son dévouement et à l’aide de Victor, les travaux du Dr Edward Bach se sont répandus dans le monde entier, en maintenant ses principes et sa simplicité.

« Tant que l’Ame, le Corps et l’Esprit sont en harmonie,
rien ne peut nous affecter. »

                                                                Dr Edward Bach

Nora Weeks et Victor Bullen

L'œuvre de sa vie : 38 fleurs

C’est par un matin à l’aube, en traversant un champ couvert de rosée, qu’il découvre une méthode simple de préparation des fleurs : la solarisation. Il contemple les gouttes de rosée et perçoit que chaque goutte chauffée par le soleil absorbe les vertus curatives de la plante sur laquelle elle est posée.

Durant cinq ans il recherche, découvre et expérimente 38 fleurs.

En 1933, Il créait le seul et unique mélange de fleurs : le Rescue Remedy®.

En 1934, il s’installe à Mount Vernon qui est devenu aujourd’hui le Centre du Dr Edward Bach. Là, il entretien un jardin ou il pourra voir pousser les fleurs et ainsi récolter l’essence de celles-ci dans les meilleures conditions. il continuera de travailler sur les fleurs, les testant le plus souvent sur lui-même.

Une fois les 38 fleurs et le Rescue développés, il sait qu’il est absolument inutile d’en ajouter d’autres.

En 1936, il s’éteint, heureux d’avoir accomplir sa mission, mais avant de mourir il détruit entièrement ses recherches et laisse comme testament l’emploi de ses fleurs. Il demande à ses amis fidèles de continuer son œuvre, et que Mont Vernon reste la demeure de ses découvertes. C’est pourquoi Mont Vernon est devenue le Centre Bach.

En 1936, il s’éteint, heureux d’avoir accomplir sa mission, mais avant de mourir il détruit entièrement ses recherches et laisse comme testament l’emploi de ses fleurs. Il demande à ses amis fidèles de continuer son œuvre, et que Mont Vernon reste la demeure de ses découvertes. C’est pourquoi Mont Vernon est devenue le Centre Bach.

Le centre Bach

C’est par un matin à l’aube, en traversant un champ couvert de rosée, qu’il découvre une méthode simple de préparation des fleurs : la solarisation. Il contemple les gouttes de rosée et perçoit que chaque goutte chauffée par le soleil absorbe les vertus curatives de la plante sur laquelle elle est posée.

Durant cinq ans il recherche, découvre et expérimente 38 fleurs.

En 1933, Il créait le seul et unique mélange de fleurs : le Rescue Remedy®.

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